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 Sacha Call [Fini.]

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Sacha Call
| Elève de 6° Année |
Sacha Call


Masculin Nombre de messages : 95
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MessageSujet: Sacha Call [Fini.]   Sacha Call [Fini.] EmptyDim 1 Juin - 13:07

Fiche sous forme de Rp.


Sacha.
Sacha Call [Fini.] Dn001xu9fe3 Sacha Call [Fini.] 4t8vts9gf4 Sacha Call [Fini.] Dn049wb5xi5
Sugar Love Panda.
Tout a un sens.

-->Surement une des plus belle chanson du monde...<--

Spoiler:



Sacha Call [Fini.] Llawlietanimeavatarbyiskj5


I .Prélude….

But I Know... And I Want To Do...

Ouf, comme un vent d’explications vient souffler sur les pages de ce cahier que certains appellent journal intime, disons que moi, je dirai juste confesseur. Bien sur, certains ce demandent qui je suis, ou, encore, qu’est ce que vous lisez. Eh bien, je vais vous le dire, vous lisez un CAHIER !! Bah faut être logique quand même. Mais bon, brève de blague ou autre, que je vous explique ce que vous lisez avec tant d’intérêts, en effet, vous lisez mon journal intime ou passe tous les extraits de ma vie, mes coups de blues ou de cœur et surtout, tout le reste! Bien sur, ne soyez pas surpris qu’a certain moments il y est marqué "Il" et a d’autres moi, ceci est parfaitement normal, car, intelligent comme je suis, je lui ai lancée un sort, et, quand j’ai mal a la main, il prend le relais, il vient chercher dans mes pensées et les rapportes sur ces pages d’une fine écriture noir. Bien que j’écrive mieux, n’en doutez point. Bien sur, ce prélude, comme il le signifie si bien, va servir d’introduction, et, aura pour but de me présenter brièvement ainsi que ma famille, et les détails viendront au fil de l’histoire. Ainsi, je peux vous le dire, petit curieux et petite curieuse, je suis Sacha Call, appelée Apelle bien que plus communément, on m’appelle L pour gagner du temps. Pourtant l’autre non plus n’était pas long, bien que je préfère celui la. Je suis donc L, un Serdaigle de sixième année a Poudlard, l’école magique d’Angleterre, malgré mes racines françaises et mon trèèèès bon accent anglais *Humouuur !* Mais revenons aux choses sérieuse, peut-être voulez en savoir plus sur l’homme (ou le futur homme) que je suis.
~
Eh bien, si nous commencions par ce que les autres pensent de moi, mais ne me prenez pas pour autant facilement influençables, loin de la. En effet, certain me trouve fou ou bizarre, choses totalement absurde vu mon intelligence. D’autres me trouve trop maigre et trop gourmant, ce que je comprends. Enfin, il y en a qui me trouve sympathique et drôle, quoiqu’un peu flippant, ce que je comprends très bien, enfin, il y ceux qui ont envie de moi, qui me trouve « sensas » et qui dise a tout le monde que je suis bon et sexy. Mais bon, c’est vrai qu’avec certaines personnes je peux passer vite à l’acte et qu’avec d’autres je peux éprouver l’amour. Cela dépend. Je ne sais pas pourquoi je m’égare autant du sujet, autant le passer avant de rentrer dans les détails.
~
Si je vous présentais ma famille ? Allez, c’est parti. Lét’ss Go comme dirait ces sympathique anglophone. Donc, commençons par mon papa, ce cher papa bien sympathique et rigolo bien qu’un peu tyrannique, celui qui m’as fait perdre confiance en moi et m’as démoralisé tellement de foi. Pour lui, tout doit être bien fait et beau, sous peine de punitions. Bien sur, ce jeune entrepreneur d’une trentaine d’année, atteignant l mètre quatre-vingt et sa petit touffe de cheveux brun clair ainsi que ses petit yeux noisettes et son bouc de jeune blagueur et rigolard peut-être tendre comme un agneau, sauf avec moi. Peut-être m’en veut-il que je ne lui ressemble pas, que l’on n’a pas les même objectif ? Je n’en sais rien, de toute façon, avec lui, le courant n’est jamais vraiment passé. Un vrai bougre ? De plus, il est si souvent absent que des fois, je parvins à l’oublier… bien sur, il ya aussi ma maman, pas très souvent la et que j’appelle amicalement par son prénom, ainsi chère lecteur, a chaque fois que le prénom Patricia apparaitra, tu sauras que c’est le doux prénom de ma mère aux cheveux couleur de paille et aux yeux vert envoutante. Elle travaille au ministère, et vous comprendrai qu’elle n’a jamais été la souvent, surement est-ce pour cela que je suis aussi autonome. Elle par contre, a trouvée ce qui m’attirait le plus, les friandises. Elle est beaucoup sympathique que l’autre énergumène qui me sert de père. Sans doute la vie n’aurait pas été aussi amusante sans mon petit frère qui, grâce a mes bons soins, a six ans et a de bonne capacité pour atterrir a Serdaigle tout comme moi, comme vous l’aurez compris, i lest née quelques jours après mes dix ans, c’était comme mon troisième cadeau d’anniversaires, je pourrait jouée a l’adulte, bien qu’un an après, je ne le voyait que pour les vacances, la ou mes parents s’absentait pour cause de travail, peut-être voulait-il m’éviter car mon galant frère me disait qu’il restait chaque soir pour lui. Vive les gens courageux qui ose dire la vérité, sur ce coups la, j’avais été blessée, mais bon…Avant de passer a autres choses, peut-être devrais-je vous dire son nom, car, en effet, ce petit anges aux cheveux blanc qui vienne d’ont ne sais ou, un peu comme les miens et au aux yeux vert perçant de ma mère, c’est surement sa petite taille qui le rend plus mignon encore.bon, revenons en a son nom, il a le beau petit nom d’Angelius, ce qu’on comprend tous. Mais le plus insolite dans tout cela (oui oui, j’ai dit insolite.) est surement mon animal de compagnie, celui qui ne me quitte pas depuis ma deuxième année, ce chat de gouttières, car je l’ai trouvée dans une gouttière du château n__n… Donc ce chat de gouttières gris tigrée majestueusement de gris a pour honneur de se nommer Prince Of Lollypop Candy. Mais tout le monde l’appelle Lollypop, d’ailleurs, moi aussi, sauf quand je le réprimande, mais, a chaque fouis, j’ai l’air bête dans les couloirs ou le dortoir a criée « Prince Of Lollypop Candy, qu’a tu fais ?? » mais bon, je l’aime quand même, surtout quand il me ramène des petites sucettes ou qu’il vient dormir sur mon torse et qu’il me chatouille le nez avec sa petite queue qui bat au rythme de son ronronnement… quand au plus merveilleux, il arrive… Je ne peux m’empêcher de soupirer quand je pense a elle, ce n’est que la cousine et pourtant l’on croirait ma sœur jumelle, je parle mentalement bien sur, elle me comprend tellement bien. Je sais que pour certains cela peut-paraitre bizarre, bien que pour moi, cela soit tout à fait normal, mais, elle habite chez moi 8D. Sans doute je vous raconterais cette nuit de folie au un taux trop élevé d’alcoolémie nous a fait devenirs plus intimes. Mais arrêtons ici les détails, car il ce peux que certains jeunes gens soit choquée par des propos, ainsi, je préviendrais lors des zones de dérapages. Alors que dire d’autre…
~
Eh bien vu dans quel élan je suis parti, autant continué, si vous racontez la chose que j’aime le plus au monde, abordons le. Je suis fan des trucs sucrée ! En partant des sucettes jusqu’aux langues de chat en passant par le chocolat… Le meilleur étant les lollypops… MIAM !! Sans doute vous me verrez tout le temps avec quelques choses à manger, même en cours ou autre. Ne pensez pas pour autant que je suis gros, au contraire, je suis maigre comme un squelette. Mais j’ai ma théorie, oui, car, vu que je réfléchis beaucoup, j’ai besoin de sucre, et de beaucoup. Donc, tout le sucre que j’absorbe va dans mon cerveau. Intelligent hein ? Voila pourquoi je ne comprends pas qu’on me traite de fou, d’accord que je fasse un peu peur a cause de ma peau blanche te de mes yeux noir ainsi que ma grosse tignasse elle aussi noire, mon grand corps squelettique, toujours habillée avec des t-shirts blanc et des jeans bleu, mettant rarement des chaussures… Mais pas la peine qu’on me traite de fou. Dis donc, je fais un blocage sur ça. Faut que j’arrête. Je ne pense pas que j’ai grand choses d’autres a vous racontez dans ma page de garde qui devait faire seulement quelques lignes…
~
Mais bon, Tourne la page et lis le reste mon cher ami et n’ai pas peur…Bou !! Hi hi. Au fait, en parlant de ça, je crois que les fantômes existent. J’en côtoie mêmes dans mon école, fou non ?? Ne vous ais-je donc pas dis que j’étais sorcier ? Mais si sa existe, t’en ai un Banane !! Y’en a franchement… Oui, ne vous étonnez pas que mes gros mots soit des fruits ou légumes, car moi, je ne suis pas grossier, je vous insulterais de patate d’eau douce, banane pourrie ou bien de nectarine acide ou a la limite abrutie ou imbécile, mais jamais de « connard » ou de « salaud ». Je m’indigne moi-même à écrire ces mots extrêmement malpolis, vois à quel point, petit lecteur, je n’aime pas les gens grossier. J’ai envie de les taper, enfin, non, je ne suis pas violent, je voudrais plutôt de leur apprendre… Je ne sais pas moi… A leur apprendre à cueillir des fleurs pour être gentil mais Angie (mon petit frère) m’as dit que ce n’était pas assez radicale de nos jours. Mais que faire contre tous cela ? Devenir premier ministre et interdire les gros mots sou peine de finir sa vie en mangeant des épinards. Quand j’ai émis cette idée, ma mère rigola gentiment et me caressa la chevelure en me demandant ce que j’avais dans la tête, alors une autre idée encore meilleure m’est venue. Je deviendrais un super héros justicier de la politesse accompagnée de ses deux acolytes et assistant Super Angie et Méga Lollypop XXL à la fraise. Sur ce coups la, mon père éclata de rire, il se moquait de moi. Il parla à mon nez quand il se baissa me faisant sentir son affreuse haleine d’ail de plein fouet. Il me dit que j’étais vraiment con. Quelle impolitesse. Sur ce coup la, je tendis mes deux mains en avant et le repoussa doucement, gentiment, avant de lui dire amicalement, bien qu’avec une légère pointe de dégout dans la vois, qu’il était une petite patate qui ignorait tous du dentifrice et de la brosse a dent, et que je ne serais pas étonné qu’il me demande ce que dise ces mots. J’enchainai que la moquerie était le reflet de la jalousie, surement parce qu’il n’avait jamais eu d’idée lui, ou, en tout cas, pas des aussi recherchées. Mais bon, mon cher journal, oui, j’ai décidée de t’appeler comme cela, je te laisse sur ce petit « Comeu-back » en Anglais, car, vois tu, pour une fois que ma mère est la tôt le soir, elle a fait a manger, et rein qu’a l’odeur, je me sens obligée déposer mon stylo, de te refermer et de te cacher dans mon oreiller, mais chut, personne ne dois te trouver. Tu as compris è_é

CHUT !!


Au fait, c’est décidé, un jour, je referais le monde à ma façon. Bizou.



Dernière édition par Sacha Call le Mar 17 Juin - 19:58, édité 13 fois
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Sacha Call
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MessageSujet: Re: Sacha Call [Fini.]   Sacha Call [Fini.] EmptyDim 8 Juin - 13:04

Sacha Call [Fini.] Dn008us5cu2

II. Pourquoi est ce qu’on a toujours le choix…


Des courbes manuscritesUne lére dyslexie...





C’est par ce paisible jour de juin que je t’écris, mon cher journal. Les vacances avance a grand pas et je suis partagé. Je ne veux pas rentrer chez moi tout en le voulant, le monde n’est peut-être pas celui que j’imagine. Peut-être devrais-je t’expliquer, laissant aller mes souvenirs jusqu’au ma plume, laissant l’encre tout dire a ma place. Peut-être qu’écrire est la seule chose que je sais assez bien faire. Mais trêve de plaintes et place aux explications, celle de mon interrogation. C’était il n’y a pas deux jours qu’un hibou de l’école s’écrasa littéralement contre ma tête, c’est le cas de le dire. En effet, il était accompagné de ses amis hiboux et à peine avait-il eu le temps de rentrer par les fenêtres de la grande salle ouverte qu’il me regarda. Il avait des petits yeux pervers, il me regardait comme si j’étais sa proie. Il fondit en piquer jusqu'à moi, et je n’eus pas le temps d’éviter que se gros sac a plume qu’il manqua son atterrissage et se « crasha » sur ma tête, me projetant a terre, mais, je vous rassure, mon pudding était sain et sauf, sauvée par mon chat, Lollypop. Le hibou, choqué par moi, sans doute, tremblait de partout, moi, je me relevais et m’éloigna bien vite de lui. Cette phobie des hiboux remonte a mes dix ans, lorsque j’étais assis au parc avec ma mère, mon père et mon frère, je vous l’assure, ceci est rare. Un hibou, surement mal réveillé et perdu, passai par la, et, moi, je léchais ma sucette, à côté de mon père grognons qui boudait pour on ne se sait quelle raison et de ma mère attendri qui regardai les pigeons peuplant le Road Square. D’un coup, ses yeux devinrent des fentes et il fonça sur moi en piquait, comme l’avait fais quelques secondes plus tôt l’autre énergumène, sauf que celui-ci en avait après ma sucette. Je ne serais dire pourquoi, vu que les hiboux sont censées mangés des souries et compagnies. Non, celui semblait être spéciale, ainsi, moi, ce petit garçon innocent voyez un hibou aux yeux pervers foncer sur moi telle un aigle sur sa proie, je réagi tout de suite, sautant du banc et courant en rond dans le parc, cette choses velue de plumes volant derrière moi. Comme dans les dessins animés. Malheureusement, sur mes petites gambette, car, voyez vous, j’étais petit jusqu'à mes onze ans, ou la, j’étai soudainement gagnée beaucoup de centimètre. Dans, sur mes petites gambettes, je fatiguai bien vite, laissant le hibou attraper mon col et me mettre par terre après avoir essayez de me soulever (j’ai dit petit, pas squelettiques), et, la, ô sacrilège, il me prit ma sucette (gout fraise et vanille en plus…) et s’envola avec, laissant a mon père tout le plaisir de se moquer de moi alors que je pleurai comme un bébé devant les passant du Road Square qui avait vu toute la scène, certains était intriguée par ce hibou, d’autre très amusée. Voila la raison de ma phobie contre ces volatiles gourmant, voleur et pingre…

~
Mais revenons-en a notre situation initial au donc, je mettais éloigné, pratiquement en courant, de ce volatile qui m’avais foncée dans le visage. Le professeur de soi aux créatures magiques eu vite fait de la ranimer. Ce fut ce moment ou ma chère cousine eu l’idée de rentrer dans la grande salle. Quand elle me vu, elle cria, mettant ses mains sur ces yeux. Bien sur, je ne compris pas tout de suite. Non, jusqu'à ce que je me retourne et que mes amis Serdaigliens firent eu aussi un grand « oh » collectif. Il le faut le dire, j’étai intrigué. Jusqu'à que je ressente une petite douleur a la tempe gauche. Vous savez, ces petites douleur qui sont si légère mais tellement insupportable… Je touchai ma tempes, un liquide chaud y coulai, il devenait de plus en plus abondant… Ma main était rouge, je commençai à voir flou… Je voyais des gouttes « plicer » (quand elles font plic plic). Ma vue devint noir et sans doute, je m’évanouis puisque je me retrouvai dans une pièce blanche, une fois mes yeux ouverts.
~
L’infirmière ainsi que quelque ami penché sur ma triste enveloppe humaine. Tout me sourire quand je demandai si je pouvais avoir une sucette au chocolat, les nouvelles de Mc Pulls. L’infirmière me répondit de faire attention, et, quand je me regardai dans la glace, je déglutis directement, vous savez malgré ce que l’on pense je prends quand même soin de mon apparence. En effet, quelques petits points de suture avaient fait irruption sur ma tempe, ou, quelques instants plus tôt, le sang avait coulée. Je n’avais décidément pas de chance. Cependant, je fus rassurée quand elle me dit que je n’avais qu’une seule journée a passée avec eux, bien que cela soit suffisant pour que les autres se moque de moi. Ce ne fut qu’en fin de journée que ma lettre me fut remit, par ma chère cousine. Je la lus avec attention, la relisant. Elle venait d’Angie. Il avait fait des progrès en écriture, quelques fautes ici et la, mais, à part ça, sa lettre était totalement visible. Je te retransmets ici ce qu’il a écrit, et, peut-être comprendras-tu pourquoi je t’écris. Voici la lettre de mon frère adorée (les fautes corrigés, bien sur).
~
«De Angelius à Sacha.
Cher grand frère.

Sache que j’ai deux grande nouvelle a t’annoncée, et, elles ne sont pas forcement aussi joyeuse les unes que les autres.
Mais commençons par la meilleur, sache d’abord, que j’ai toujours d’aussi bonne note grâce a tes explications. Mais la n’est pas le sujet. Je suis allé a la boulangerie du coin, tu sais, celle près de Road Square, pour aller acheter un gâteau pour l’anniversaire de papa qui est très présent ces temps ci, contrairement a maman qui semble être surchargée vu dans l’était dans lequel elle rentre. Donc, j’allais acheter un gâteau à la fraise pour papa, et, quand je suis rentrée, je me suis stoppé net. Tu sais, dans la vitrine à bonbons, il y a un compartiment réservée aux sucettes, et, au tout devant, la place était consacrée a… Devine ! La nouvelle sucette gout CARAMEL et FRAISE !!! J’en ai acheté pour les goutez, et la publicité ne mens pas, une révolution de saveur !! Absolument magnifique !! Promis, dès que j’ai mon argent de poche, je t’en envoi cinq, à moins que tu ne sois déjà rentré ? On verra ! Car, je e t’ai pas dit le plus magnifique dans tous cela, c’est qu’elles ne sont qu’a 10 pence ! Fabuleux.

Maintenant, arrête de sauter en l’air, la deuxième nouvelle arrive. Cela concerne les parents. Papa a eu des billets grâce a un ami, et nous pouvons partir vers la Guadeloupe ou un pays vers là bas. Le problème c’est que Maman elle, doit rester ici, puis, elle souhaitera faire un petit voyage dans notre maison en France, le problème est que Papa ne sera toujours pas revenu. C’est bête que pour une fois, il n’ait pas leur vacance commune. Alors a toi de choisir, bien que je pense que je te suivrai dans tes décisions. Veux-tu changer de couleur de peau, dépalir un peu et pouvoir nagée pendant un mois dans une mer chaude tout en pouvant boire du Coca a longueur de journée, ou bien rester un peu a la maison puis aller voir la famille quelques semaines ? A toi de voir, bien que moi j’irai bronzer, bien que je sais quelle ‘amour ‘ tu a pour Papa. J’attends ta réponse avec impatience !
Petit Ange. »
~
Bien sur, mon cher journal, je m’empêchai de lui répondre. Aussi bien pour lui dire ma réponse et pour le féliciter pour ces peu de fautes. Voici la copie de ma lettre.
~
« De Sacha à Angelius.
Cher petit frère.

Sache que ta lettre ma fait beaucoup plaisir, mais avant de te faire part de ma joie, il faut que je te dise, je suis très fier de toi, tu n’as fait qu’une minorité de fautes et tu t’es appliquée à écrire cette lettre, bravo!

Sache aussi, que, comme tu l’as si bien écrit, j’ai sautée en l’air à l’annonce de la nouvelle sucette que nous avait promis Mc Pulls. Caramel et Fraise sera surement une de ces meilleurs créations, je n’en doute point. Mais je voudrais de faire part de mon partage ment pour ce choix, car, vois tu, pour une fois, j’ai pris la résolution de faire changée d’avis Papa sur moi, donc, j’aimerais bien le rejoindre et lui montrer que je ne suis pas ce fou qu’il croit avoir comme fils. Mais, comme tu le dis, notre pauvre maman est surchargée, elle m’a fait savoir son désespoir à redresser le conte financier de la famille, car, a ce qu’il parait, Papa dépenserai des sommes vertigineuses pour on ne sait quoi. J’ai quand même beaucoup réfléchi, et, toi, tu partiras avec papa, car tu en a envie. On ne se verra pas souvent, mais si Maman dois travailler plus, je l’aiderai, car je suis un bon garçon, et, en travaillant pour aider à redresser les finances (et pour acheter des nouvelles sucettes). J’ai donc décidé de rester avec Maman. Mais, toi, prend du bon temps et pars donc en Guadeloupe. Ne t’en fais pas, je passerais le bonjour a toute la famille pour toi. Je te ramènerai un souvenir. Je t’aime Petit Ange.
L Apelle. »
~
C’est sur ceci que je te laisse mon cher journal, car, vois tu, c’est l’heure de dormir. Goodeu Night ! \o/

RON PSHIII...

Au fait, juste un dernier petit mot, je crois que je suis tombé amoureux de mon nouveau débardeur, car vois tu, il vient de la marque LolyCide. Oui, encore une marque de confiserie me dira tu. Mais, cette fois, je te laisse vraiment, car le préfet rôde dans les parages, je vais le rejoindre ! SMACK !!


Dernière édition par Sacha Call le Mar 17 Juin - 20:02, édité 5 fois
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Sacha Call
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MessageSujet: Re: Sacha Call [Fini.]   Sacha Call [Fini.] EmptyJeu 12 Juin - 22:50

Sacha Call [Fini.] Dn012gi5ot1

III. La première fois pour moi.


Nous échangions des promesses de révolutionAlors la fleur du diable a fleuri

/!\ Scènes a caractère relevé/!\ A éloigné des jeunes gens ._.


Comme tu as pu le remarquer, mon cher journal, cela fais quelques jours que je ne viens pas t’écrire de petits mots doux ou désagréable, en fonction de mon humeur. Cependant, comme tu a du le remarquer, je suis rentrée de Poudlard, ayant fini avec brillance ma cinquième année. J’ai donc commencée un travail que j’ai trouvé, et, je dois le dire, il est assez fastidieux d’ailleurs, mais, au moins j’arrive a renflouée la caisse de la famille. Bien sur, tu te demandes ce que j‘ai choisis, et bien, j’ai réussie à m’engager comme éboueur. Bon, je sais, je ne sens pas très bon quand je rentre, mais je prends des douches, et puis, j’ai remarquée qu’en commençant tôt et en finissant tard, je me faisais beaucoup d’argent a la semaine, ayant remontée le compte en banque qui descendais en flèche. Angie m’a envoyée une lettre de la Guadeloupe, et, à ce qu’il m’a dit, il passe souvent les journées seules. Le pauvre, je préfère restée blanc et avoir plein d’amis que d’être seul et bronzé. De toute façon, le bronzage ne me va pas. C’est après ma troisième semaine de travail, vois tu, que je t’écris. Il doit être vers les minuits à en voir la lune qui se ballade tranquillement dans le ciel noir d’encre parsemée d’une fine écriture appelée étoiles. Ma cousine qui n’arrivait pas à dormir est venue me voir, et, après avoir un peu discuté, elle s’est doucement assoupie. Je dois avouer qu’elle est encore plus belle quand elle dort. Je me suis rappelé dans ta première page que je t’avais promis de te raconter cette nuit folle que nous avions passée ensemble. Chose promis, chose doux, car, voit tu, c’est en ces chaudes nuits d’été que je me remémore tous mes souvenirs de ma vie, qui, je dois le dire, n’est pas très longue. Je te ferais aussi une autre révélation que tu ne te douterais peut-être pas, mais, après, sis patient, en attendant, savoure, savoure le temps des souvenirs qui arrive au grand galop, n’entendu pas sonnées les carillons de l’enfance ? Allez va, va, dans mon subconscient pour démasqué ma vrai nature, celle d’un homme blessée par la vie, cette chose agonisante, c’est moi, perdu dans les confins des ténèbres, perdu a tous jamais…
~
21 Août de l’été dernier.
Souviens-toi de cette envie qui ne faisait que montée en toi, celle de m’avoir.
~
La journée avait bien commencée, aucun parent en vue, un petit frère gardée par la voisine, juste assez pour être coupé du monde extérieur. Cette journée aurait û être parfaite, mais ma cousine avait décidée qu’on devait s’amuser, alors, quelques instant plus tard, la fête battit de son plein la musique résonna dans les murs, le sol ne semblait pu très stable sous mes yeux, la chaleur des corps émergeant et bougeant dans tout les sens me rendait mal a l’aise, et, je du sortir dehors sur le balcon pour me remettre de mes émotions. Bientôt elle me rejoint, accompagnée d’une bouteille et de deux verre, et les remplie puis m’en proposa un, que j’acceptai sans même regarder de quoi il s’agissait, c’est a la première gorgée seulement que je recrachais d’un coup ce liquide pétillant et affreusement mauvais. Je lui dis que je n’aimais pas le champagne. Elle me regarda franchement, et me dit que dans mon état, cela me ferai oublier. Et comme un con, j’ai bu. Après quelques instants, malgré moi, je lui demandai un autre verre. Surpris par moi-même, mais cette sensation de chaleur intérieur, ce liquide était en fait…Rassurant au fond, je ne vu pas les deux bouteilles se vidaient dans nos verres, je ne savais pas non plus comment je m’étais retrouvé a l’intérieur en train de faire ce concours stupide du plus grand cu-sec. Je failli m’évanouir alors, par cette heure tardive, alors que tout tournait autour de moi, que els visages heureux devenait flou, une main rassurantes m’attrapa et m’emmenât dans un lieu clos, ou les percussions ne se faisait entendre que par d'insignifiant battement, alors que ceux de mon cœur semblait être trois fois plus fort. Cette silhouette féminine m’assit, et se dressa devant moi, je la reconnus alors, elle sembla moins saoul que moi, même si elle chancelait un peu en essayant de rester droite. Elle s’assit sur le lit, déposant sa main sur ma jambe, ce penchant en avant, comme si elle allait vomir, sa main se resserra, puis elle se releva, sans doute n’avait elle pas fait attention a l’action qu’elle venait de faire, mais cela avait réussie à susciter l’intention de mon membre qui sommeillait depuis tellement longtemps entre mes cuisse. Il sembla se dresser à l’intérieur de mon caleçon, et, sans vraiment comprendre, j’avais envie d’elle. Elle posa sa main chaude sur ma joue, et rapprocha son visage du mien, me regardant langoureusement, ce fut moi qui fit le premier geste, happant ses douces lèvres sucrées, sentant fortement l’alcool, surement comme els miennes, sa langue vint faire intrusion dans ma bouche, remuant fougueusement, presque avec violence.

~
Je l’emmenai en arrière, nous retrouvant tout les deux allongées sur mon lit, puis, elle s’assit à califourchon sur moi. Elle releva sa tête, se détachant de moi, puis, en un geste souple elle retira son haut, faisant apparaitre un simple soutien gorge noir, ses seins bercée dedans comme des enfants. Elle revint a al charge, armée de sa langue faisant descendre ses mains jusqu’au bat de mon tee-shirt, avant de me l’enlever sauvagement, telle une lionne retirant la peau de sa proie. Elle commença à m’embrasser le torse, et je ne trouvai rien d’autre à faire que de savourer cet instant, fermant les yeux. Puis, elle revint vers mon visage, je montai mes mains alors vers son dos, détachant avec soins les agrafes, envoyant le vêtement au loin, elle sourit, avant de me rouler une pelle sauvagement. Je la retourna, me retrouvant au dessus, elle prit ma main pour la mettre sur son sein, puis rigolât fébrilement, comme si elle aimait ça. Je pris la peau de son cou, y faisant apparaitre une tache rouge, puis, tout doucement, je descendis, m’attardant au niveau de la main. Pus, j’arrivai a son pantalon, je défis son bouton et a braguette, avant de la faire glisser doucement sur ces fines jambes. Je fis passer mes mains près de son intimité pour caresser sa cuisse, avant de m’armer de mes dents pour enlever le seul vêtement qui lui restait, sa culotte. Elle se retrouva maintenant a nue, et rigola tranquillement comme si de rien n’était. Elle mit sa main derrière mon cou et me ramena jusqu'à son visage, ou, encore une fois, je partageai ses lèvres. Puis, elle me retourna doucement, reprenant le contrôle des opérations, elle s’assit sur mon membre, elle commença à défaire mon pantalon, le faisant glisser comme je venais juste de la faire. Elle sourit en voyant mon caleçon gonflé ainsi par le désire, et, en un mouvement, il n’était plus la. Elle commença à m’embrasser le bas ventre et l’intérieur des cuisses, avant de le mettre sauvagement dans sa bouche avant de commencer des va et viens répétitifs, mais tellement bon. Je commençais à étouffer de petit gémissement de plaisir, mon membre se dressant de plus en plus dans la bouche de la jeune fille… Enfin, elle arrêta, elle arrêtât mais mon supplice devant encore plus douloureux à cause de cette chose qu’on appelle envie. Emme me regarda et revint à califourchon sur moi, prenant mon « entité » dans sa main et le guidant au bon endroit. Je commençais à rentrer en elle, et j’aimais ça. Je posai mes mains sur son bassin alors qu’elle commençait à entamer de fins mouvement d’avant en arrière. Je l’encourageai à aller plus vite, puis, je repris le contrôle, lui envoyant de violents coups de bassin, alors qu’elle me suçait le cou sauvagement. Sans doute, j’étais encouragé par ces jouisse ment mêlée au miens et par cette chose magique qu’on appelle orgasme. Sans doute cette nuit était une des plus folles de ma vie. A la fin, épuisée, elle mit sa tête au creux de mon épaule, et s’endormit tout comme moi en sueur.
~
Le lendemain matin, rien ne laissait raison de croire qu’une fête clandestine avait eu lieu, juste, pour seule souvenir, des passages flous de cette nuit de folie passer entre elle et moi. Peut-être va tu me trouver ignoble, mais, j’ai assez bien aimée, c’était notre première fois, notre secret… Alors ne le dis à personne \o/ !! Voila, j’ai fini, fini de me remémorer cette nuit inoubliable, ou, pour la seule et unique fois de ma vie, j’ai été saoul. Voila, j’ai fini, au revoir.
~
NAN je rigole! M’aurais tu cru, mon petit journal? Il ne faut pas être aussi naïf que moi dans la vie ^^. Mais cessons les bavardages, et revenons en au fait, je dois te faire une révélation. Oui, j’ai remarqué que… J’aimais aussi bien les garçons que les filles. Surprenant non ? Je fais partie de cette « News Generationneu ». Je suis un bisexuel si j’ai bien compris. Je m’hallucine moi-même, mon père aura une raison de plus de me détester. Tant mieux pour lui, mais, moi je n’ai pas peur des moqueries, car, au moins, si je ne trouve pas la femme de ma vie, peut-être aurais-je la chance de trouver l’homme de ma vie. N’oublie jamais, plus on est de fous, plus on rit !! Allez je te laisse, le coq va bientôt chantée, et franchement, je n’ai pas envie de m’endormir a mon travail, sur le camion poubelle, parce que ça ne sens pas très bon…

COCORICO !!

J’ai aussi autre chose à te dire, si jamais je ne trouve pas ma voix, je deviendrai le plus grand pâtissier du monde aussi bien sorcier que moldus. Pas de discrimination, allez SMOUTCH et bonne nuit.


Dernière édition par Sacha Call le Mar 17 Juin - 20:04, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Sacha Call [Fini.]   Sacha Call [Fini.] EmptySam 14 Juin - 0:39

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IV. Trahison et désespoir.


Je ne veux pas que tu te fanesLe lotus rouge est en fleur.



Surement, oui, surement, je ne t’ai jamais écris sous une telle humeur, car, vois tu, moi, Sacha Call, réputé par ma bonne humeur est en train de pleurer, à la fois de rage et de désespoir, et, pour une fois, pour une chose qui valait la peine. Combien de temps cela fait-il que je n’avais pas pleuré pour une raison aussi importante ? Jamais, si je me souviens bien. Je ne pleurais que pour certaine chose futile telle que ma sucette volé par un grand garçon. C’est tout, et encore, cela fait quelques années que les larmes ne coulent plus. Sans doute est-je commencer à devenir plus sérieux a Poudlard, ce sanctuaire sacrée qui me permettait de m’évader, cette école magique.
~
Comme tu as pu le remarquer, je suis monté en courant, je savais que tu étais sur mon bureau, je suis venu de chercher. Tu as dus comprendre que cela n’allait pas en m’entendant monter les escaliers comme un fou, a toute allure. Quand j’ai ouverte la porte a la volée, tu a du entendre mon petit frère pleurer, et ma mère crier des mots malsains contre lui, cet homme que j’ai tant envie de tuer en ce moments, cette chose qui ne mérite plus de vivre, cette énergumène qui se croit tellement supérieurs au autres qu’il en a brisée a jamais une famille, et, surtout, ma mère. Je mettrais du temps avant de pouvoir le pardonnez surement. Mais continuions, car, vois tu, si j’écris, c’est comme pour me libérer d’un poids, alors, je t’en pris, ne m’interromps pas. Tu entendais donc ma mère s’égosiller en larme sur mon père. Je pris mon sweet rayer et l’enfila, mettant ma capuche sur ma tête et prenant mon sac, te mettant dedans, peut-être avec un peu trop de colère, je m’en excuse. Je ne pris pas la peine de descendre, car, mon père était montée, et m’avait attrapée par le bras, il me traita très discernement de salopard et me dit de rester dans cette maison. A ce moment, ce moment ou rien ne va, ces moments ou la colère est telle qu’elle s’en exprime seul, je n’ai que faire de la politesse et de mes friandises, tous ce que je voulais, c’était partir. Partir loin pour ne jamais revenir, m’éloignée de cette maison de fou. Il serra fermement mon bras et menaçait de me taper, alors moi, je lui crachai a la gueule que c’était un gros connard et qu’il n’avait qu’a réfléchir a ses actes. Je pris la première chose qui me tombait sous la main, mes sucettes, je lui en balançais quelques une dans la tête, et, sans doute surpris que je réussisse un telle acte, il me lâcha, c’est a ce moment que je le frappai, lui envoyant directement mon point droit dans la joue. C’est aussi à ce moment que j’ouvris la fenêtre, prise d’une folle envie de sauter du troisième étage. Mon lit était tout près, et mon plus fidèle ami y était, mon chasseur de friandises, mon acolyte que j’ai trouvé coincée dans une gouttière, Lollypop. Il me regardait, comme incrédule, la, assis, ses pupilles rétractées. Je l’attrapai, et le fourrant dans la poche de mon sweet, puis, pris d’un élan de folie, je sautai. Bien sur, mes pouvoirs de sorcier me permirent d’atterrir en douceur sur la cour pavée de la rue, et de m’enfuir en courant sans penser aux conséquences, ni a mon frère, ni a ma mère.
~
Je courus pendants au moins dix bonne minutes, a une allure effréné que je ne me connaissais pas, peut-être je me sous-estime moi-même a certaine capacité sportive. Mais bientôt je l’aperçus, cette grande pente rocheuse à la limite de la ville. Elle était grande, imposante, et, certain la réputait de hantée, mais, pour moi elle était tout le contraire, c’était comme un paradis terrestre, un lieu ou je pouvais venir me livré, courir dans tout les sens et courir en perdre haleine pour évacuer la colère. Je n’ai jamais montré ce lieu a personne ni mentionner une seule fois son nom. Mais, à toi, je vais t’expliquer, je vais te montrer, ou il faut aller. Je parcourais sans fléchir le chemin montagneux, manquant a chaque pas de me mettre par terre, mais, bientôt, j’arrivai en haut, et, la vue était magnifique, l’on y voyait toute la ville et ces lumières dans coucher naissant du soleil fatigué. La mer aurait du s’étendre au loin de plein fouet pour que le paysage soit vraiment parfait, mais, j’avais pour seule consolation d’entendre le bruit des vaguelettes du lac souterrain encore indemne de la civilisation Anglaise. Mon chat remuait dans ma poche, surement étouffé par mes bras, je le sortis et le blotti contre mes bras, avant de descendre dans un trou ou je retrouvais bientôt l’atmosphère rassurante et bleuâtre de la grotte souterraine. Un fin lac couleur azur s’y étendait, laissant son reflet magique comme une trace sur les murs fin et lisse de la grotte. Elle ne sentait pas le sel, et le sol de terre ne faisait pas concurrence avec le sable chaud, mais, au moins, il était moins pollué. Je souris, certes, d’un sourire crispée, mais au moins, j’arrivais à me détendre. J’essayais d’un revers de manche les larmes encore abondantes qui coulait de mes yeux, maintenant devenu rouge. Mon chat sauta de mes bras, et alla se blottir dans une cavité de la roche, comme a son habitude, c’est a ce moment que je m’assis sur la terre fraiche, le dos contre la roche, et que je te sortis pour écrire ce que je ressens en ce moment même. Peut-être ai-je l’air bête, ainsi courbé sur mon cahier, mes bruits de sanglots incessants parvenant surement jusqu’au dehors. Mais peut-être devrais-je te raconter, comme a mon habitude, les événements. Sache d’abord que je ne dirais pu Papa, ou mon père, pendant un bon bout de temps, mais tout simplement Michel. Tu vas savoir pourquoi tout de suite.
~
Nous sommes mi juillet, et, après une courte semaine chez la famille, nous sommes revenus à la maison ou Michel et Angie nous attendait avec impatience, bronzé comme des rastas. Ils étaient accueillants et souriants, comme si leur vacance était parfaite, bien que je sois interloqué qu’Angie me raconte ses journées ou il était seul sur la plage. Je me dis qu’il aurait pu se faire tabasser, racketter, ou pire, violé ou enlevé. Loin de moi ces pensée a cette instant même, puisqu’il m’assure que tout va bien j’ai envie de dire ouf. Mais je me décidai de faire la remarque à Michel, le lendemain de nos retours. Bizarrement, quand j’entrai dans la cuisine, il y était, ma parole, il se lève tôt, les jours de vacances. Il me regarda de son regard hautain, comme d’habitude, m’ais j’étais résolu. Mais, lui, il me surprit, en effet, il me dit que j’étais devenu grand garçon, car j’avais travaillée, mais tout de suite après, il me dit que j’étais con car ce n’était pas comme cela que j’aurais ces faveurs. Franchement, j’ai une tête à vouloir de ces faveurs, moi ? QU’IL AILLE SE FAIRE FOUTRE!! Mais sur le moment, j’étais calme, et, je lui demandai pourquoi il laissait Angie seule sur la plage en Guadeloupe, il aurait pu lui arriver quelques chose. Il me regarda, son regard était devenu méchant, je haussai les sourcils, presque insolemment. La table n’était pas longue, et, il avait juste à tendre le bras pour me mettre une raclée. Il me pointa du doigt, le malpoli, et me dit d’une voix ferme, basse et menaçante, comme si il avait peur de se faire entendre ou découvrir, il me menaçant directement et ouvertement. Il me dit que si jamais je chercher à découvrir ce qu’il faisait la bas, il me tuerait, je lui demandais alors pourquoi, il me répondit que cela n’était pas mes affaires. Je lui dis que je ferais mon enquête et que j’en ferai part a tous ceux qui ne sont pas sensé le savoir, alors la, sa main vola mais je l’évitai de justesse en tombant avec ma chaise sur le sol. Il était retourné travailler, et ne revenait que très tard, et, ma mère aussi. Un jour, il n’y avait personne a alla maison, car, comme tu le sais, ma cousine est retourné voir sa famille en France pour toute els vacances, et Angie était parti dormir chez un copain, ne revenant que le lendemain après-midi. Le matin, j’annonçai donc à ma mère et mon père que je m’absenterais la journée pour aller voir un concert dans lequel un des mes amis jouait, j’y passerai surement la journée. Il s’était passé cinq bons jours depuis l’épisode que je t’ai raconté précédemment. La matinée c’était très bien passé, mais, le concert fut annulé pour cause mauvais temps. Alors, dans le courant de midi, je quittais mon ami, et son parapluie, devant ma porte d’entrée. J’entrais discrètement dans la maison, au cas ou mon chat dormirait dans le couloir d’entrée, sur le petit canapé ou nous nous asseyons habituellement pour enlever nos chaussures, et, en effet, il y était, roulé en boule, en train de ronronnées comme un guépard, c’est à dire, de ronronner trèèès fort, comme a son habitude. J’enlevais donc doucement mes chaussures pour le ranger dans le placard, mais, une chose me frappa, l’impair de Michel était la, et, il était un peu mouillée. Il avait surement du rentrer pour manger, mais, non. J’avais beau fouiller la cuisine, la salle à manger et tralala, non, personne. Bon, tant pis, je me disais, j’avais abandonnée, et j’étais montée dans mes chambre, doucement, un bon gros sandwiches jambon-beurre dans la main. Sans doute n’aurais-je préféré ne jamais monté.
~
En effet, à peine arriver en haut, j’entendais des …Bruits suspects, va-t-on dire, qui venait de la chambre de mon père. Franchement, je me suis dit que mes parents prenaient du bon temps. Jusqu'à ce que j’entende Michel crier de joie « Sarah ». Tout de suite, je me demandai qui était Sarah. Bah oui, je l’ai dit au début, ma mère s’appelle Patricia. Aussitôt, je me dirigeai vers la chambre d‘ou venait les bruits et je l’ouvris violement, la faisant claquer contre le mur. Ma bouche s’ouvrait d'ébahissements. Michel au lit avec une blondasse aux yeux bleu et surement les seins refait. La femme, surement Sarah, me regarda, elle aussi surprise. Il faut dire, je crois qu’elle se faisait chevauchée par Michel sans savoir qu’il avait une famille. Elle demanda qui j’étais, mon père s’empressa de répondre que j’étais son neveu, et, bien vite, il prit son boxer et le remit, puis, m’entraina dans le couloir. J’étais encore choqué par ce que je venais de voir. IL me prit par le derrière le cou, me faisant assez mal, et, me susurra a l’oreille, d’une voix assez menaçante que je ne répéterais a personne ce que je venais de voir. Moi, je ne dis rien. Au bout de quelques minutes, il me lâcha, et retourna avec la blonde. Moi, j’étais redescendu et je caressais nerveusement mon chat su le canapé, mais, au bout d’un moment, je sorti. Alors que je revenais de la boulangerie, m’étant dis qu’une bonne sucette de Mc pulls me ferait du bien, je voyais mon père dire au revoir à Sarah en l’embrassant copieusement dans la rue. Il n’avait pas peur des commères du quartier lui. Moi, je restais au coin de la rue, attendant patiemment la petite Sarah. Heureusement, elle prit ma direction. Je m’interposai devant elle, et lui posa des questions. Trois mois que cela durai, et il l'a gâtai de cadeau extrêmement cher. Je m’étais fatigué à travailler la moitié du mois pour…Elle ? Ou, plutôt, à cause d’elle. Bien sur, elle me demanda pourquoi je voulais savoir tout ça. Je ne me gênai pas e lui dire que Michel avait une famille unie composée d’une femme et deux fils. Tout de suite, elle déglutit, et me dit pardon, avant de partir et de disparaitre au coin de la rue, par transplanage, surement. Quand Maman rentra, je me vu obliger de lui dire la nouvelle, en effet, dès qu’elle arriva je lui donnai un thé bien chaud et je la fis assoir dans le canapé, elle se demanda pourquoi tant d’attention. Je lui dis franchement de finir sa tasse et de la poser avant, ce qu’elle fit. Alors, je lui pris la main et dit assez directement, peut-être un peu trop Patricia, papa t’as trompée avec une blonde qui s’appelle Sarah. Au début, ma mère cru une blague, mais mon regard insistant lui fit comprendre que non. Elle monta dans sa chambre, surement pour pleurer. Michel ne revint pas ce soi la, mais seulement le lendemain, c’est-à-dire aujourd’hui. J’avais été cherchait Angie, et, dix minutes après ma livraison de petit frère, Michel rentra, et, encore une fois, me menaça du doigt, cela devenait une habitude dis donc…
~
Il me dit que j’avais tout cassé, qu’a cause de moi, il avait perdu l’amour de sa vie. Je le regardai et le pointa a mon tour du doigt, moi aussi menaçant. Je lui dis que l’amour de sa vie était censée être Maman, et que, si cela n’était pas le cas, qu’il a au moins le courage de lui dire en face, comme moi. Encore une fois, j’évitai sa main volante en me baissant. Il n’eut pas le temps d’essayer de recommencer qu’il s’était pris une valise dans la tête, ce qui fit pleurer Angie. Voila comment tout le monde criait. Mais cela n’explique pas que je pelure. Non, disons que je vais te racontée la suite brièvement. Moi, distrait par la valise, me reçut un coup de poing en plein dans le ventre, et, me fit incendier de tout les noms, et, cela était fort blessant, même venant de lui. Voila, les rares instants ou je suis vexé et blessé dans ma vie sont les pires. J’espère ne pas avoir à le revivre, cet instant si détestant. En attendant, je vais peut-être rentrée, cela fait une bonne heure que je t’écris, je ne voudrais pas que Patricia (maman) s’inquiète trop… Le temps que je réveille Lollypop et que j’arrive à remonter, car, vois tu, dans cette grotte, la sortie n’est pas du tout facile… Allez go go go !!!

DRIIIIIIING!!

Au fait, si jamais il fait trop souffrir MA maman, JE le jette de la maison.
Allez dort bien. Kissou!


Dernière édition par Sacha Call le Mar 17 Juin - 20:07, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Sacha Call [Fini.]   Sacha Call [Fini.] EmptyDim 15 Juin - 0:00

Sacha Call [Fini.] Dn011ts5si4

V. Tout va mieux.

T’avais mis ta robe….Rien n’efface l’essentiel

Cher journal, après un long souffle de dépoussiérage, te revoilà opérationnelle a te faire écrire dessus. Excuse-moi de ma longue absence, mais, il faut le dire, je t’avais perdu. En effet, j’avais complètement oublié que je t’avais mis dans mon placard sous mes polaires et, ce n’est qu’en faisant la poussière que je retombe sur toi. Au début, j’étais mort d’inquiétude cat d’habitude je t’écris assez souvent, mais, j’ai du me soumettre au choix d’écrire sur des feuilles, avec, un jour l’espoir de te retrouver. Devrais-je te dire que nous sommes début Aout, cela fais donc 3 semaines que je t’ai perdu. Mais rassure toi, tout va mieux aussi bien extérieurement qu’intérieurement. En effet, la Sarah perturbatrice a posté une lettre a Maman, expliquant qui elle était est qu’elle était sincèrement désolée d’avoir chamboulé sa vie et celle de ses enfant et que Michel l’avait bien trompée en lui affirmant qu’il vivait chez son frère. Mon père reçu la raclée de sa vie le soir, pour avoir entretenue une liaison avec une employée du ministère pendant plus de six mois, et pour lui avoir fait des cadeaux hors de prix, ainsi que de nous avoir trompées nous tous, sa propre famille. Mais, maintenant tout va mieux, en effet, Michel, après avoir mis plusieurs tonne de glace sur la joue, est venue me voir. Attend donc que je te raconte. C’était dans l’après midi alors que je faisais tranquillement un Monopoli avec mon frère que quelqu’un toqua a la porte.
Bien sur, je dis d’entrer, je croyais que c’était maman et du linge propre. Donc, la personne entra, et, je fus très surpris que c’était mon père qui entra la main porté à sa joue ou il y maintenait un torchon humide remplie de glaçons. Mon père me sourit faiblement et fit un signe de tête à mon frère, lui disant de sortir. Il ferma la porte derrière mon petit Angie et s’assit sur mon lit et lança les dés. Moi, je fermais le plateau et lui dis bien clairement, Michel, je n’ai pas l’intention de jouez avec toi. Chose incroyable, il me sourit et m’ébouriffa les cheveux, comme le ferait quelqu’un d’attentionnée. Il me dit qu’il comprenait, qu’il comprenait que j’était en colère et qu’il accepterai que je l’appelle Michel ou monsieur Call, ou bien, que je ne lui parle pas du tout. Il continua dans son élan, il faut le dire, sur ce point, j’étais inquiet pour lui, car, jamais il ne m’a parlée aussi franchement, sans se moquer de moi ni faire quelques allusion a ma folie. Non, il parla comme il parlera a son confident, peut-être le sui-je devenu a partir de ce moment la, un peu contre mon insu. Pour commencer, il me raconta son enfance, il a vécu avec son grand-père, et, n’était pas forcément très bon a l’école, ses parents n’avait pas les moyens de le prendre et son grand-père n’avait pas le temps de s’abandonner au câlin ou choses futile dans ce genre. Il découvrit vite son talent de magicien, et, fut content de savoir qu’il descendait d’une lignée de sans-purs. Il rentra a Poudlard peut après ses onze ans, et, dans le train y rencontra une petite fille du même âge que lui, Patricia. Elle atterrit à Pouffsoufle, tout comme lui. Ce qui était dommage, c’est qu’elle n’arrêtait pas de rester avec un Serpentard, mais, au fond, lui, il savait qu’il l’aimerait toute sa vie. Ce fut au cours de sa cinquième année qu’i eut une brève aventure avec Sarah, mais, elle ne dura pas longtemps. Il me dit aussi qu’avec ses amis il aimait bien faire des farces (pas forcement gentille) aux autres, et, l’ami de Patricia, un jour, eu le malheur de rigoler un peu trop fort alors qu’il se trouvait à proximité. Tout de suite, elle voulut l’aider, mis son ami insulta tout les sangs purs et les Pouffsoufle, et ce fut fièrement que Michel avait réussi à dissoudre une amitié qui aurait du durer éternellement. Mais, elle ne m‘aimait toujours pas, il était trop gamin et trop fier d’après elle, mais, au fond, il changea, pour elle. Ainsi, ils se mirent ensemble et ne se quittèrent plus. Ils passèrent cinq longues années à se promettre qu’il s’appartiendrait éternellement avant de se marier, et, d’avoir un enfant, moi. Ce fut quand je suis née et qu’il vu a quel point elle m’aimait qu’il devint jaloux de moi, car c’était lui, qu’elle devait aimée. Ce fut sans doute pour cela qu’il se moquait de moi, tout au plus, je ne lui ressemblais pas, et, a ma mère non plus. Après, vint Angie, il passa mieux vu qu’il avait ses yeux, des yeux d’un vert émeraude flamboyants, adorable, incomparable. Mais, il croyait qu’elle ne l’aimait pu. C’est après quelques années qu’il revu sa veille relation au ministère. Bien vite, ils renouèrent une relation d’amitié avant de passer au stade suivant, se disant qu’elle elle l’aimait vraiment. Ce ne fus que quand il vu le regard brisée de ma mère qu’il se rendit compte a quel point il s’était trompée, et, qu’au fond, il se devait d’aimer ses enfants, et non de les jalouser, car ils étaient a lui et a elle, et qu’au fond, c’était une preuve de leur amour.

Il me sourit et me prit dans ses bras, aurait-il changé en si peut de temps ? IM-PO-SI-BLE. Pour moi, en tout, cas, car, même si il devenait plus doux, pour moi, il resterait toujours ce père faux-jetons, tyrannique et manipulateur. Je lui fis comprendre, et après un sourire freluquet, il partit, me laissant d’un signe de main. Je passais la soirée à y penser, mais, au moins, ce problème était réglé, bien que j’aurais du mal à lui refaire confiance. Une semaine passa, et ceci dans la bonne entente, mais, vois tu, nous sommes a trois jours de nos retrouvailles, et, vois tu, c’est le cœur explosant de joie que je t’écris, car, vis-tu, ma cousine était censée passée toute els grandes vacances chez sa vrais famille, mais, il y a donc trois jours, je la retrouvai un grand sourire aux lèvres devant la porte, sa valise a la main. Je lui sautais dans les bras (oui, car avec elle, c’est comme si c’était l’homme, je m’écrase devant sa virilité et sa volonté…Oui, je suis très courageux xD). Après un bon gros repas, nous sommes montés dans ma chambre et nous avons parlés. Elle avait passée de très bonnes vacances, ayant revue son frère, mais, elle avait fait clairement fais comprendre à sa famille qu’elle ne reviendra plus que quelques semaines dans l’année, en même temps que nous. Il semblerait que nous ayons tout deux affrontées nos paternels et maternels. Mais bon. Enfin, comment d’expliquer que nous avons su rattraper un mois en trois jours, eh bien je vais te le dire, pour le premier jour, nous sommes allées nous promenés au endroit que nous serions allée voir la première semaine, alors, nous sommes allées nous promenées dans le parc, nous tenant par les bras, dans la rosée du matin, nous avons mangé près du lac au cotée des cygnes blanc puis nous avons fait du sport et une sieste sur le champ de course, même que j’ai failli me faire manger par un cheval… Et enfin, nous avons dormi sur le toit de la veille grange. Ensuite, pour le deuxième jour, nous avons passée la matinée au parc d’attractions, puis nous avons mangée dans le zoo avant de passer la journée avec Angelius. Enfin, nous avons passée une nuit blanche à nous promenés dans la rue discutant de rien et de tout, amour et baiser et surtout, LOLLYPOP! Le matin du troisième jour, nous avons dormi chacun dans notre chambre. Nous avons mangée un kebab a paris (transplanage mes amis 8D) pour revenir nettoyé la maison, et, LA, je t’ai retrouvée. Surprenant, mais je n’ai rien d’autre à dire, et, pour une fois je ne te baratinerais pas pendant des heures, car, je dois aller dormir chez un ami, tu sais, celui qui avait fait un concert, qui finalement a été annulée. Je t’emmène en cas d’événement imprévu, mais c’est tout, je ne dis plus rien. A part peut-être le programme de mois. Alors, on retournera au zoo, on ira courir dans les champs, caresser le vent de nos balais, on apprendra a Angie les base de la sorcellerie, on s’entrainera pour les sort, on ira a la piscine, on fera plein de choses nouvelle, avec les amis ou non, et puis on ira acheter les fournitures et on rentrera en cours pour avoir des bonnes notes, surtout moi… J’ai honte, mais je te laisse car le temps me presse.

SACHA !!!

C’est mon ami qui m’appelle, comme seul consolation de mon manque d’écriture, je laisse aller mon imagination à quelques poèmes…Un de mes préférées mais
/!\Attention, propos choquant enfin je pense =X /!\

"Comme une feuille je me languis
De l'automne qui m'as si vite pris.
Oh je t'en pris,
Dis moi oui, et je t'emmènerai au paradis."

Ce texte, je te le récitais, et ce fut a ce moment que tu cessas de me résistez, car, enfin, après toutes ces années, je t'avais.
Tu te levas, et tomba dans et mes bras, et je te rattrapai, moi, l'as. Sans doute ne me rendais-je pas compte que je t'avais fais souffrir tout ce temps, mais, tu étais encore jeune, et tu ne savais rien de cette chienne qu'on appelle vie, car ici, rien n'est facile. Tu plongeas tes petits yeux noisettes fragile dans mes yeux noirs froid comme l'acier, comme pour me supplier, mais moi qui parlais en rime oubliée, mon cœur avait tellement flanchée, que tu ne repartirais pas. Je passai ma main dans tes cheveux couleur d'ébène, défaisant quelques nœuds, j'espère que je ne te faisais pas mal, que tu ne ressentirais pas al douleur, car cela n'avait même pas commencée. Je t'ai toujours rêvée, désirée, et pendant tout ce temps volée, tu n'étais pas encore arrivée, tu t'étais comme envolée. Mais on, t’a menti quand tu étais petite, tu assis, le crapaud a d'autres choses que la bave pourra voir la blanche colombe, et ce n'est pas par jalousie qu'il agit, mais par logique. Je contemplais ton visage parfait, et esquissa un sourire, tu semblais moins apeurée, tu avais cessé de trembler. Mes yeux s'approchèrent de tiens, et je respirais ton haleine de déesse a travers ma bouche, puis, enfin, je pus faire ce que certain appelait libération, oui car, enfin, je pouvais t'embrasser, goutée a tes lèvres sucrée et tournée autour de ta langue figée, mes mains s'enroulèrent autour de ta taille et, bizarrement, tu fermas les yeux, et mis les tiennes derrière mon cou, sous mes cheveux abondant, mais ce n'est pas la coopération qui te sauveras, petite.
Malgré ce que certain appelait un rêve, je gardais les yeux ouverts, n'oubliant pas mon but premier, celui de te faire payer. Tes jambes flanchèrent, mais je te soulevais, enlevant ma langue que tu prenais comme un poison de ta bouche. Je te souris comme un carnassier, et tu ne semblas pas rassurée, bien que tu penses que je ne puisse pas te faire de mal. Bien sur tu te trompais. Je marchai, te portant jusqu'a la table, et t'assit dessus. La je l'achat mon étreinte, arrachant mes lèvres au tienne et desserrant mes bras, puis je te regardai, tu n'avais plus peur, ou tu la cachais très bien, tu ne tremblais pu, ou alors ils étaient imperceptibles. Mes mains commencèrent à déboutonner ta veste, puis je l’enlevai, la faisant doucement glisser sur tes bras, comme pour te laisser quelques minutes de répit, car sans que tu t'en doutes, la chassée allait commencée. Ton petit débardeur laissait voir ton nombril, car, comme a ton habitude, tu voulais que les autres te veulent, te désir, t'appelles, mais tu n'étais plus le maitre. Ton pantalon, lui, était voyant, d'un rouge extravagant, et, comme d'habitude, deux bout de tissus ressemblait fort a des ficelles ressortait, car, en plus, tu voulais les excités. Pauvres garçon innocents. Mon bras se leva, et d'un grand coup, je t’effleurai la joue. Le liquide chaud avait coulé cela avait commencée, tu étais tombé dans la nourriture que j'avais préparée, mais que jamais tu ne mangerais. Je la repoussai, le faisant tomber a même le sol, le chien la mangera, a moins que j'invente un nouveau jeu, car toi, je te laisserais partir. Tu me regardas, comme un regard d'amertume sur le visage, tu refoulais les larmes, mais tu t'étais frottée à moi, et je me suis laissé tenter. Il faut assumer les conséquences. Je pris un couteau qui était restée innocemment sur la table, et toi, tu étais resté figée la, tu serais plus facile que les autres. Je montai sur la table de bois, et a quatre pattes me dirigea vers toi. Je m'assis sur ton bassin, et lécha la lame encore tranchante. Peut-être devais tu me croire fou, mais, la vraie folie, cesser de croire que je l'étais. Je saisis la lame tranchante, la passant sur ton haut, appuyant légèrement, et ton torse m'apparut à nue, ainsi que tes seins rebondissent. Je dirigeai la lame étincelante vers ton visage, et fit une légère entailles, et le sang coula modérément, sans en être abondant pour autant. Je me penchai sur ton corps, et sortit ma langue, léchant cette petite plaie, tu émis un gémissement, surement de peur mais je savais que tu aimais ça. Le sang arrêta de couler, mais tu n'avais pas bougé. Je te souris, et me reculas, m'asseyant derrière tes pieds. J’enlevai aisément tes petites ballerines, et, surement par agacements, je lançai mon couteau au loin dans la pièce, puis, je m’attaquai au pantalon qui te moulait si bien tes petites jambes. Je n’eus pas de mal a faire céder le tissu, que je craquai facilement au niveau du bassin, et que je fis glisser aisément jusqu'a le retirer complémentent, il ne restait plus qu'un élément que, a peine touchée, il fut enlever. Maintenant à nue, tu mourrais de peur et j'éclatais de mon rire qui faisait si peur. Je fermai mon poing, et l'enfonça dans ta joue, c'était plus fort que moi, tu m’exaspérais, a dire vrais, je voulais tu tuer, mais je m'en étais lassée. Je te pris par les cheveux, et leva, et tu essayas de me frapper, sans succès, je me mis moi même debout, t'entrainant dans mon ascension. Tu avais réussi à m'amuser. Je te mis un violent coup de genou dans les cotes, et un fin filet de sang gicla de ta bouche. Je t’élevai plus haut, et tu crias, tu vois, tu m’exaspéras tellement que je te plaquai par terre. Du sang coula de ta tempe. Tu t'étais tu, et tout de suite, tu étais redevenu plus belle. Je t’embrassai encore une fois, puis me leva. Il ne faut pas abuser de ces jouets sinon, on les casse, mais celui était déjà en mauvais états. J'ouvris la porte, et je te regardai. Je te souris, te faisant un signe de la main comme au revoir, te laissant dans ton coin, terrorisés. A demain, avais-je envie d'ajouter.


"Tu vois le paradis,
Ce n’est pas comme a Paris
On n'y connait pas le romantisme
Ni la justice
Juste la démence
Et l'attirance.
Allez, dors bien, Mon Ange..."


Dernière édition par Sacha Call le Mar 17 Juin - 20:12, édité 4 fois
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Sacha Call
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Sacha Call


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MessageSujet: Re: Sacha Call [Fini.]   Sacha Call [Fini.] EmptyDim 15 Juin - 23:02

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VI. Comme sur le rythme d’un au revoir.
Godbye my lover...My friends...

Mon cher journal, sans doute est-ce la dernière fois que je t’écris dans ma petite vie colorée. En effet, tu a tout juste tenue la durée approximative des grandes vacances, car, vois-tu, il ne me reste plus qu’une page avec lequel je m’empresse d’écrire alors que le Poudlard Expresse a déjà sonné son départ. Ma cousine est partie revoir ses copines, mais, je n’ai pas préférée rejoindre mes amis, car, vois tu, ces temps ci, j’ai envie d’être un peu seule, mais, surtout, je suis arrivée trop tard et il n’y a plus de place dans leur compartiment. Mais bon, je dois te mettre au courant aussi que mon frère à dix ans alors………….Bah devine patate !.......T’est vraiment bête des fois, cela veut dire qu’il entrera a Poudlard l’année prochaine voyons. Mais, d’un côté, je suis content de retournée à Poudlard, car, en plus de pouvoir revoir mes amis, je vais pouvoir aller a Pré Au Lard et toute ses friandise et chocolat chaud. Hum, retrouvée l’atmosphère du château. Mon chat dort sur la banquette et le hibou hululant en face de moi m’inquiète un peu, car, tu connais ma phobie de ces volatiles… Son maitre c’est endormi, mais, au moins il arrête de me parler, un vrai moulin a paroles ce garçons… Heureusement, je me venge sur le pot d Nutella que j'ai emmené de la maison, car, vois tu, je t’écris la cuillère à la bouche. HUM QUELLE DELICE !! =3. Tu veux que je te raconte mes vacances ?? Et bien je me suis bien éclater avec mes amis sorciers et moldus et j’ai visité plein d’endroits, je suis allé à la mer et…Bah c’est tout Oô. En fait, je n’ai rien a t’écrie, a part que ce trajet long et somnolent est assez ennuyeux. Excuse-moi, mais je te laisse cinq minutes, car voix tu, il y a la vielle dame aux friandises qui passe.
~
ME REVOILA !! Tu étais impatiens non ? Mmmm… Les chocogrenouilles sont encore plus bon, cette année, mais, attend, je viens de rencontrer quelques qu’un qui était wow… *_*. J’ai failli en tomber par terre. Je ne te dirais ni son nom, ni son âge, ni son sex car vois tu, quand je t’aurais fini, je te mettrais avec tous les autres journaux intimes que j’ai fini, et je suis sur que ma cousine te lira, car je suis sur qu’elle le fera, et, franchement je ne veux pas qu’elle aille lui dire, car, tu vois, ses courbes sont si fines, si visage si beaux, malgré quelques défauts. Peut-être n’aurais-je jamais le courage de l’aborder… Mais passons, ou je sens que son nom va s’écrire tout seul… Méchant journal. Aussi, fais moi penser à acheter un journal plus gros, qu’il fasse au moins toute l’année, le prochain, car j’en ai marre de dépenser ma fortune pour des cahiers a dessins ou des journaux intimes Quoi, tu ne savais pas que je dessine ? Inculte, en plus il parait que je suis bon… Ouarf, excuse moi, mais je baille, car, vois tu, l’autre bonhomme en face de moi ronfle tellement qu’il essaye de m’entrainé au pays des merveilles avec…
~
Oh dis donc, je me suis endormie une petite sans faire attention, je me suis écroulée à côté de Lollypop, je n’aurais pas du faire une nuit blanche hier, car, voix tu, a chaque fois, avant chaque rentrée, je fais une nuit blanche contre mon grée, en me disant que je ne réussirais pas l’année, je ne passerais pas aux examens, que je raterais tout, je me ferais renvoyer, enfin tu vois quoi, je stresse… Bon, voila, j’arrive à la fin de la page, et, je ne suis pas motivée pour écrie sur le bout de carton qui de sert de couverture… En plus je n’ai presque plus d’encre… Aller, dors bien dans ton sommeil maintenant éternel…

BONNE NUIT CHERRI =3.
A la la, ta petite couverture bleu a rayure jaune va me manquer, surtout que j’avais collé plein d’autocollants de sucettes et de gâteaux dessus. Snif, dis-toi que je t’aime, et, que comme els autres je ne t’oublie pas. N’oublies pas qu’il y en a eu 5 avant toi, car, j’ai commencé à écrier a ma première année a Poudlard. Il y a eu : Pous-Pous, Moutoneuuuh, Arisilimitini, Mc Pulls Professional, Agrume et toi, Journal. Mon cher journal, sans doute est tu le meilleur. Aller je t’aime fort fort fort. BISOUS D’ADIEUX !


~Statistiques...~

Mots : 10 862.
Caractères: 60 813
Lignes: 786
Paragraphes: 49.

Conclusion.

Mon cher Journal, tu es bel est bien le plus long que j'ai fait ;]
Tu vas me manquer... <3


Dernière édition par Sacha Call le Mar 17 Juin - 20:11, édité 3 fois
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Tom Streamin
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MessageSujet: Re: Sacha Call [Fini.]   Sacha Call [Fini.] EmptyLun 16 Juin - 20:07

Bienvenue sur Mutinnnnnnn ! Sacha Call [Fini.] 6368

Ton idée de fiche sous forme de rp est plutot sympa =) ! Cependant, il existe beaucoup trop de fautes, relis toi, passe ta fiche sous word, il y a vraiment trop de fautes !

Ensuite, il y a beaucoup trop de répétitions, de verbes, d'expressions.... Relis toi, essaies d'utiliser des synonymes, trouve des astuces... Wink !

Et pour finir, si tu pouvais aérer ta fiche, tous les posts sont très longs, c'est écrit assez petit, et ca n'est pas agréable de se concentrer sur un si gros bloc de mots ! coupe ta fiche en paragraphes, saute des lignes... =) !

A toi de jouer !
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Sacha Call
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MessageSujet: Re: Sacha Call [Fini.]   Sacha Call [Fini.] EmptyLun 16 Juin - 20:13

Okay je rectifie tous cela ^^

EDIT :

Alors, j'ai fais ce que j'appelle des paragraphes (d’après ma prof, j'ai une définition très spéciale des paragraphes... Rolling Eyes )

Les fautes, j'ai passée deux fois sur Word, comme d'hab' xD (mais je pense qu'il en reste...)

Par contre, tu m'excuseras Tom, mais je peux pas changer les verbes trop répétés parce que c'est comme ça que j'écris, et j'aime pas changé ma façon d'écrire... Pour une fois que je suis d'accord avec ma prof hein...
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MessageSujet: Re: Sacha Call [Fini.]   Sacha Call [Fini.] EmptyJeu 19 Juin - 20:36

Euh... N'up ? Sacha Call [Fini.] 528952
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Mallaury Sansouci
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MessageSujet: Re: Sacha Call [Fini.]   Sacha Call [Fini.] EmptySam 21 Juin - 22:15

Damned, pardon pour le retard ma Pom'pot, mais comme je n'ai pas eu beaucoup de temps sur l'ordi j'ai lu ta fiche par bouts x) Bref ! Comme l'avait dit Tom, il reste encore vraiment beaucoup de fautes, pas vraiment de celles qui se corrigent tout de suite sur Word mais plutôt qui se voient facilement avec une relecture attentive ... Néanmoins, comme ça fait quand même un moment qu'on te fait poireauter et comme j'ai confiance en ton rp, je pense que je peux déjà te valider (ouii, je suis trop bonne 8D *ZBAF*). Essaies simplement de corriger le plus possible quand tu auras le temps, les fiches ne sont pas verrouillées, et fais attention en rp ;3 Alsooo :

Serdaigle
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(Enfin je crois bien que c'est ça, si je me suis planté je corrigerai tout de suite, of course) And thus, bon jeuuu ;3
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MessageSujet: Re: Sacha Call [Fini.]   Sacha Call [Fini.] EmptyDim 22 Juin - 21:41

Enfin !!! Sacha Call [Fini.] 120320 XDDDD

Merci !
Je corrigerais petit a petit ^^.
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