Mutinlutin Malinpesti
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 Un Devoir Sans Fin

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William Tun
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William Tun


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MessageSujet: Un Devoir Sans Fin   Un Devoir Sans Fin EmptyJeu 28 Fév - 21:44

Un Devoir Sans Fin


    Le vent continuait de taper contre les fenètre de son dortoir. Il était assit sur son lit, dans la main un parchemin qu'il rangea dans son sac noir. Il ferma son sac et le mit en bandoulière. William soupira et sortit su dortoir. Il n'y avait pas grand monde. A cette heure là, tout le monde était au travail ou dans leur devoir. William traversa la salle commune des Serdaigles et sortit par la porte secrete. Il regarda autour de lui. Un leger coup de vent vint faire voler ses cheveux gris. Il sourit et commenca a sa marche.

    William allait à la bobliothèque pour une recherche sur les plantes qui peuvent tué. Malheureusement la salle commune des Serdaigle était à l'autre bout de la bibliothèque, il fallait donc passer dans plusieurs couloirs, devant plusieurs sale de classe. Il descendit les escaliers et commança à passer dans tous les couloirs pour allait là ou il veut aller. Il passa devant la sale de Défense contre les forces du mal. En passant il y eu un gros boum qui le fit sursauter. Il arriva bientot a la bibliothèque. En face deux Serpentard marche cote a cote. En passant il bouscula William qui ce releva et cria.

    < Petit c*n !! >

    I l passa une main dans ses cheveux et entra dans la bibliothèque. Il n'y avait pas beaucoup de monde. quelque élèves plonger dans leur bouquin ou en trint d'écrire sur des parchemins. Le jeune homme traversa les étagerent pour aller sur une table, dans un coin au calme. Il regarda les bouquins. Il y avait de tout, " Comme lire l'avenir. " , " Aprendre les créatures magique est deux coups de baguette ", mais William s'arreta devant un livre nommé " les plantes à travers le monde ". Il le prit et alla s'assoird. Il posa le livre sur la table, sortit son encre noir, sa plume couleur noir et un parchemin. Il feuilleta le livre et commenca a écrire.

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Emma Natwick
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Emma Natwick


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MessageSujet: Re: Un Devoir Sans Fin   Un Devoir Sans Fin EmptySam 1 Mar - 15:06

Cela faisait déjà plusieurs minutes que Saska traversait la bibliothèque en frôlant de ses doigts les longues rangées de livres, d’un pas lent et automatique qui indiquait clairement que sa concentration était focalisée sur les mouvements de sa main. Le contact des livres avait quelque chose de rassurant et d’apaisant. À une époque, ils étaient quelque chose de rare et de précieux, synonymes de richesse. Saska se rappelait parfaitement que, hier comme aujourd’hui, ils n’étaient pas forcément dans les meilleurs mains. Elle avait vu bien des êtres les utiliser à des mauvaises fins, ou, même, laisser la poussière les envahir jusqu’à ce qu’ils ressemblent à un tas de feuillets grisâtres et malodorant. Les mettre en commun leur donnait bien plus de chance, malgré les stigmates qui s’empilaient sur leurs pages. Ils étaient vivants. Ils subissaient le temps, et finissaient, un jour, hors d’usage, par être détruits.

* Ils ont cette chance, eux. *

Le sourire de Saska disparut pour former une mine plus boudeuse, légèrement plus sombre. Ils vivaient parce qu’ils avaient un début et une fin. On leur reconnaissait le droit de disparaître. Ils formaient une ligne. Ils avaient arrêtés de former un cercle. Ils avaient la chance de subir leur temps, de profiter, d’une certaine manière, de celui qui leur était alloué parce qu’ils « savaient » qu’ils allaient disparaître.

Et elle ? Est-ce que, imperceptiblement, quelque chose se désagrégeait à chaque fois qu’elle renaissait, qu’elle se souvenait, que ce qu’elle attendait ne venait jamais ? Elle ne pouvait pas non plus se considérer comme malheureuse. Il y avait On-Dal, et le vent, même s’il était sans chaleur dans ce château, était là pour le lui rappeler. Il y avait quelqu’un à attendre ; et pas parce qu’il s’agissait de quelqu’un, ni même d’un « lui » impersonnel ; simplement parce que ce « lui » renvoyait à On-Dal et qu’une fois présent, elle quitterait ses idées sombres, presque pour toujours. Presque pour cinq ans. Jusqu’à ce que le cycle démontre une fois de plus son infaillibilité. Mais, malgré tout, elle avait peur de se montrer un jour insatisfaite. Elle avait peur de devenir capricieuse, insupportable, et que lui, seulement lui, finisse par se lasser d’elle pour l’abandonner à cette torpeur immortelle. Elle n’avait peur que ce sentiment de solitude revienne un jour pour l’engloutir. Elle voulait pouvoir construire quelque chose pour qu’elle ait la chance de voir le temps la déconstruire.

Elle en revenait éternellement au même point mort. Malgré ses volontés ou ses sentiments récalcitrants, aucune solution n’apparaissait. Le « psychologue », comme ils appelaient maintenant ceux qui exerçaient ce métier, ne semblait pas comprendre pourquoi elle accordait si peu d’importance à ce qui l’entourait dans cette vie. Il avait dit, une fois, qu’elle tentait de s’imposer cette vision pour garder contenance, en dénigrant ses propres sentiments. Mais il était gentil. Parce que Saska le lui reconnaissait, elle aurait bien aimé qu’il comprenne. Juste « comme ça », pour laisser une trace, peut-être, et, qui sait, revenir dans un peu plus de vingt ans avec On-Dal, lorsque les problèmes qu’allait forcément entraîner sa proche disparition se seraient tassés, pour lui montrer, à lui, juste à lui, qu’elle n’avait pas menti. C’était un engagement de longue durée. Pour l’instant, seule, elle n’avait que sa seule bonne foi pour soutenir ses dires.

Ce fut en relevant les yeux que Saska oublia presque ses idées mornes. Un jeune Serdaigle attablé qui, en travaillant, faisait honneur à sa maison, aurait dit certain. Les notions de maison lui échappaient encore, malgré ces quatre année pleines. La Serdaigle laissa ses pas la conduire jusqu’à lui, et s’arrêta à un mètre respectueux.


"Bonjour" énonça-t-elle d’une voix basse, qui transmettait avec plus de difficultés que d’ordinaire la douce jovialité qu’elle essayait habituellement de répandre.

Parce que le monstre Solitude la guettait et menaçait de fondre sur elle à l’abri des regards, la perspective de rester seule plus longtemps lui paraissait insupportable.
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William Tun
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MessageSujet: Re: Un Devoir Sans Fin   Un Devoir Sans Fin EmptySam 1 Mar - 16:10



    Assis sur un banc en bois peut confortable, William écrivait. Sa plume de son hibou, Hidden, dans les doigts, William avait une écriture légère et jolie. Mais au lieu d’écrire son devoir il écrivait sur un petit bout de papier. « Maman, je suis désole de ne pas t’avoir écrit avant, mais j’ai eu…quelque empêchement. Comme tous les ans j’ai retrouvé mes amis de Serdaigles et les idiots de Serpentard. Oui je sais Grand – père était à Serpendart, mais lui n’est pas aussi idiot ! J’ai reprit les cours et les devoirs, c’est très épuisant tu sais. Je ne t’envoie pas Hidden car j’en est besoins, Bisous William «

    Il plia le papier et le mit dans son sac. Il reprit sa pluma et une parchemin. Il écria son nom, son prénom, son année scolaire et sa maison. Il ouvrit le livre nommé ‘’ Les plantes à travers le monde ‘’ et commença à écrire. La Botamie était sa matière préfère, il aimait beaucoup les plantes et les petits insectes. Toutes les minutes il devait reprendre de l’encre et recommençait à écrire. Après une dixièmes de minutes, un petit rayon de soleil vint éclairer son parchemin. Il leva la tête et regarda la fenêtre. Un petit sourire et il se replonge dans son devoir qui avait l’air de durer une éternité mais qui était un réelle plaisir pour lui. Il fit surpris par une voie féminine. Il leva la tête et vit une jeune fille devant lui. Il la regard, une Serdaigle sur ment.

    < Bonjour ! >

    Il se remit à écrire, parler n’était pas son truc, surtout quand il en plein devoir.
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Emma Natwick
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MessageSujet: Re: Un Devoir Sans Fin   Un Devoir Sans Fin EmptySam 1 Mar - 19:16

Peut-être la maîtrise de sa voix était-elle bien plus mauvaise qu’elle l’avait cru ? Le mouvement de tête du petit garçon indiquait clairement qu’il l’avait bien entendue, même s’il avait été trop rapide pour permettre à la jeune femme de rencontrer ses yeux. Alors, dans ce cas, pourquoi la baissait-il pour continuer à écrire ? Elle aurait pu être vexée de son attitude, après tout…

* Mais c’est un enfant. Un enfant ne pense pas au-delà. Ca n’est pas par méchanceté. C’est seulement qu’il n’a pas pleine conscience de ses actes, justement parce que c’est un enfant. *

Sur cette bonne pensée, Saska garda contenance face à la légère impolitesse du petit garçon. Peut-être, à cause d’une situation familiale compliquée, n’avait-il pas appris que ce genre d’attitude pouvait être blessante. Elle n’avait pas envie de le juger responsable d’un geste qui était fait sans arrières-pensées, et qui, de plus, ne relevait pas que de lui, mais plus globalement de ceux qui l’avaient entouré depuis sa naissance. Dans l’esprit du garçon, son geste n’était pas méchant, et c’est tout ce qui comptait.

Saska fronça amicalement les sourcils en laissant un sourire indulgent effleurer ses lèvres, et regarda attentivement le garçon. Le rayon de soleil qui parvenait péniblement jusqu’à ses cheveux faisait luire la masse capillaire d’une couleur qu’elle ne parvenait pas à saisir ; la mèche touchée en paraissait beaucoup plus claire, et ressortait étrangement au milieu des autres mèches d’une couleur bien plus sombre. Elles semblaient pourtant réfléchir une lumière différente de celle qui les atteignait. La Serdaigle avait l’impression que le rayon, en traversant la table, représentait un lien entre lui et l’extérieur. Statique, les seuls gestes qu’il laissait entrevoir était ceux qui lui permettaient d’écrire. Aucunes considérations pour elle : il continuait à s’enfermer dans le mutisme, probablement par « jeu ».



"Tu sais…" commença-t-elle d’une voix basse.


Et elle aimait jouer. La jeune femme, en sept petits pas, dépassa le petit garçon et se retourner pour se poster de l’autre côté de sa chaise, raccourcissant en même temps la distance qui les séparait. Un sourire plus grand naissait sur son visage. Elle avait envie d’être gentille. La question de partir ne se posait même pas. La possibilité de se retirer ne l’avait même pas effleurée.



"… ça n’est pas parce que tu ne me regardes plus que je vais disparaître."


Elle n’avait habituellement pas besoin de parler fort pour se faire entendre, et utilisait donc cette propriété dans l’espoir de se faire écouter du garçon. Elle avait néanmoins buté contre son dernier mot. Elle n’aimait pas ce mot. Elle n’aimait pas voir les choses disparaître. Se briser, « finir », d’une certaine manière, ne lui posait pas de problèmes. Elle avait envie de voir des restes, de considérer que l’ensemble des courbes était constitué des velléités des précédentes. Elles ne ressemblaient pas à un cercle ; il y avait une évolution. Voilà sans doute pourquoi, même sans l’être réellement, elle avait reconnu cette ignorance comme un geste susceptible de blesser, susceptible de la blesser.


"A la place – qui sait ? –, je pourrais peut-être t’aider ?"


Même si l’idée de travail ne l’intéressait pas. Non, décidément, Saska avait envie – non, besoin – d’un contact humain pour repousser momentanément le monstre Solitude qui errait entre les rayons de la bibliothèque.
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